Pourtant, je viens de découvrir qu'une solution radicale existe. Un solution miracle, oserais-je dire !
J'ai passé un après midi avec une nouvelle connaissance, Valérie, qui m'a appris à mon grand étonnement qu'Antoine, son mari, sera baptisé lors de la prochaine fête de Pâques. Cela m'a beaucoup surprise sachant que Valérie et lui sont pratiquants réguliers, et que leurs deux enfants sont baptisés – j'étais donc persuadée qu'Antoine avait aussi reçu ce sacrement. Peut-être n'avait-il jamais mis les pieds dans une église avant son mariage ?
« Non, m'a expliqué Valérie, sa famille est croyante, d'ailleurs ses sœurs sont baptisées, elles ont fait leur communion, ils allaient à la messe ensemble. Seulement, Antoine est le petit dernier de la famille, et il n'y avait plus de parrain ni de marraine disponible. Alors ses parents ne l'ont pas fait baptiser. »
Comme quoi, quand on y met un peu du sien, on finit toujours par trouver une solution.
Notre grande fille a été baptisée à 7 ans. Je voulais un baptême civil et Chéri un religieux. Elle a choisi son baptême et sa marraine. La petite n'est pas encore baptisée. On a choisi son parrain et sa marraine en fonction des affinités qu'elle a avec eux ... Pour le moment, nous avons fait un très bon choix, que je n'aurais jamais cru celui là il y a encore quelques années.
RépondreSupprimercomment dire... hum !
RépondreSupprimerOui, sauf que dans dans l'esprit d'un chrétien, cela revient à ne pas inscrire son enfant à l'école parce qu'il ne reste plus de cartable au supermarché...
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