Les pelleteuses creusent, les automobiles ronflent, les marteaux-piqueurs pilonnent, les moteurs fument, les métros se remplissent, les immeubles se vident, les klaxons retentissent, les freins crissent, les téléphones sonnent, la ville bruisse, la rue bourdonne et les piétons filent les yeux baissés sous la pluie.
Mais là-haut dans l'azur, irisé, éphémère et lumineux, l'arc, comme tendu entre deux mondes, étire ses couleurs éternelles.
Ca donnerait presque envie de vivre en ville ta poésie.
RépondreSupprimerJe suis allée au pied de l'arc en ciel avec mon petit seau et ma pelle. j'ai creusé dans la terre ramollie par la pluie. J'ai cherché, et trouvé... un trésor ! Même en ville il y a des trésors puisqu'il y a des arcs en ciel !
RépondreSupprimerC'est bieau bieau bieau !
RépondreSupprimerMagnifique....contente de te retrouver vers chez moi 'bloguesquement parlant bien sûr)
RépondreSupprimerJ'allais répondre comme Galéa... donc je change d'idée :
RépondreSupprimerUn déménagement quand la famille s'agrandit, c'est normal, non ?
Très chouette cette nouvelle présentation, tu as bien fait de déménager !
RépondreSupprimerBienvenue chez blogger ! tu as bien fait de déménager.
RépondreSupprimerj'aime ta poésie urbaine.